Face à cette séquence de Cauchemar en cuisine, le public hallucine. Qui aura le dernier mot ? Philippe Etchebest ou les gérants ?
Moment collector dans Cauchemar en cuisine
Ah Toulouse… Surnommée la ville rose à cause de la façade de ses maisons en brique, elle se démarque largement des autres. Hélas, lorsque l’équipe technique de Cauchemar en cuisine pose ses valises dans la région, elle ignore encore qu’elle va avoir un choc.
Depuis le début, l’aventure Cauchemar en cuisine pulvérise des records d’audience. Tout d’abord, l’attitude de Philippe Etchebest fait grincer des dents. Parfois piquant, il n’hésite pas à balancer la vérité à ses collègues en détresse. Preuve étant, le jour où il entend parler d’un rongeur, il fulmine. S’il avait su, il ne serait jamais venu épauler cet établissement !
Mais dans Cauchemar en cuisine, l’enfer n’est jamais loin. C’est toujours au moment où le mari de Dominique s’y attend le moins que les catastrophes tombent. D’ailleurs, de l’avis de ceux qui ont participé à l’aventure, elles se suivent et ne se ressemblent pas !
Celle que notre équipe s’apprête à vous raconter vaut son pesant de cacahouètes. C’est pourquoi, on vous recommande de boucler votre ceinture, nous rentrons dans une zone de turbulences. Après lecture des faits, rien ne sera plus jamais comme avant pour les anciens et les futurs clients d’Au grand Régal !
Et là, c’est le drame !
Le concept de cette brasserie est simple. Pour plus ou moins 14 euros, on a le droit à une « entrée, plat, dessert » à volonté ! Autrement dit, les gourmands peuvent se resservir autant de fois qu’ils le souhaitent, ils ne paieront (presque) rien. Dans Cauchemar en cuisine, avoir un tel menu en face des yeux, c’est une première !
Sauf qu’après avoir creusé, le présentateur de Cauchemar en cuisine pointe du doigt un énorme scandale. Comment expliquer aux becs d’oiseaux qu’ils vont avoir une pénalité ? Tout comme les téléspectateurs, ils n’ont pas intérêt à en perdre une miette !
Voulant à tout prix réduire le gaspillage, le propriétaire croit bien faire. Après tout, ce n’est pas tous les jours qu’on peut manger autant de « foie gras, des cuisses de grenouilles, des saint-jacques, des gambas et suivant l’arrivage, de la côte de bœuf« . Sauf qu’au lieu de ça, il met la pression aux potentiels clients… qui préfèrent fuir que revenir ! Comment faire pour inverser la vapeur ? La réponse, vous l’aurez forcément en lisant notre prochain numéro !
